ANALYSE. Après vingt ans de domination des grands réseaux sociaux, nos usages du Web ont changé. Les internautes se réfugient dans des cocons privés, reléguant les grandes plateformes à des lieux de divertissement plus que de conversation, où peine à subsister une culture commune.
Morgane Tual : Après vingt ans de domination des grands réseaux sociaux, nos usages du Web ont changé. Les internautes se réfugient dans des cocons privés, reléguant les grandes plateformes à des lieux de divertissement plus que de conversation, où peine à subsister une culture commune.
Le monde toujours a coté de la plaque, c'est quand même un exploit d'arriver a écrire un article sur les RS, la prod de contenu en ligne, internet et les communautés en ligne sans jamais parler de d'alternatives aux géants du web et du développement des communautés les plus historiques du web...
Quel bande de naze...
L'état des lieux est assez juste, mais je déplore également le ton décliniste de l'article.
C'est comme les articles sur les catastrophes climatiques qui ne rappellent pas que des perspectives existent et qu'il est urgent d'agir.
Ce type de papier attise le désespoir :
désespérant pour les personnes qui n'y connaissent pas grand chose parce qu'elles ne voient pas comment faire autrement que continuer comme avant,
désespérant pour les personnes qui se démènent pour que ça change, à qui on semble dire que c'est peine perdue et que cela ne vaut même pas la peine de parler d'elles.
Le pire je crois étant le passage sur le fait que les gens publient moins publiquement et plus dans des commune privées, comme si c'était grave. Alors que bon, ça montre que les gens ont enfin compris comment on se sert d'internet !